Ne cherchez pas dans votre dictionnaire préféré de 2500 pages, vous ne trouverez pas (encore) le terme Phygital.
En revanche sur votre moteur de recherche favori, vous trouverez surement une définition marketing qui vous indiquera que la phygitalisation est née de la contraction des mots « physique» et « digital ».
En 2017, Régine Vanheems, pionnière et fine analyste des nouvelles tendances commerciales, écrivait déjà dans son article que le phygital pouvait être présenté « comme l’utilisation du digital dans le monde physique ».
Et là, vous me voyez venir : qu’est-ce qui caractérise le mieux G2laplace que le fait d’être phygitale ? 😉 Via son application digitale, elle met physiquement en relation des milliers de personnes.
Avec l’essor du numérique, trop d’innovations ne font finalement que la moitié du chemin : permettre aux gens de se connecter entre eux, tout en restant à distance et leur donner accès aux objets et informations sans avoir à se rencontrer.
L’autre moitié du chemin, G2laplace l’a faite en se mettant réellement au service des expéditeurs ou destinataires d’objets, colis ou marchandises.
En se faisant livrer son canapé rêvé depuis Bordeaux jusqu’à chez lui, notre destinataire fait plus qu’échanger quelques messages sur son smartphone. Il rencontre physiquement le co-livreur qui s’est mis à son service pour lui faciliter le transport tout en rentabilisant son trajet habituel.
Cette relation phygitale permet même de préserver l’environnement puisqu’elle évite de mettre un véhicule supplémentaire sur la route.
Vous saviez déjà que G2laplace était une solution de livraison collaborative. Nous pouvons maintenant dire qu’elle est aussi phygitale.
Comme de nombreux citoyens soucieux de leur impact sur la planète et de faire des économies malignes, n’hésitez pas à pré-télécharger l’application G2laplace pour mettre le digital au service des individus.